
Double-lancement / Akim Gagnon + Marie-Claude Renaud
YOGI STRIPPER de Marie-Claude Renaud
De ses débuts dans les bars de danseuses en région jusqu’à son succès dans les plus grands clubs de Montréal, Marie-Claude Renaud dévoile les coulisses de cet univers sulfureux dans une langue franche et sans jugement. Avec la même spontanéité, elle raconte ses explorations houleuses des drogues psychédéliques, et se livre sur son rapport difficile avec les dépendances, l’alimentation et son image corporelle.
Enfin, ayant trouvé dans le yoga une paix relative, elle y a également découvert une certaine hypocrisie, qu’elle ne manque pas de dénoncer!
Véridique, captivant, drôle et hyper sincère, Yogi stripper nous invite dans une vie d’une désarmante liberté.
De ses débuts dans les bars de danseuses en région jusqu’à son succès dans les plus grands clubs de Montréal, Marie-Claude Renaud dévoile les coulisses de cet univers sulfureux dans une langue franche et sans jugement. Avec la même spontanéité, elle raconte ses explorations houleuses des drogues psychédéliques, et se livre sur son rapport difficile avec les dépendances, l’alimentation et son image corporelle.
Enfin, ayant trouvé dans le yoga une paix relative, elle y a également découvert une certaine hypocrisie, qu’elle ne manque pas de dénoncer!
Véridique, captivant, drôle et hyper sincère, Yogi stripper nous invite dans une vie d’une désarmante liberté.
GRANBY AU PASSÉ SIMPLE d’Akim Gagnon
Quiconque a lu « Le cigare au bord des lèvres » se souvient de l’attachant personnage de Pop, le père du narrateur Akim et de son frère Carl-Camille. Dans Granby au passé simple, on retrouve Akim, son frère et son Pop dans la modeste maison mobile de Granby où il a grandi.
Dans ce roman d’une grande tendresse et derrière les fanfaronnades trash d’Akim, on découvre une misère de région ordinaire : le chômage, la solitude du père et la dépression, la promiscuité collante et l’hygiène qui fout le camp, l’adolescence dans le tapis, les tensions qui en résultent… La maison des Gagnon craque de partout. Devant ce spectacle douloureux, le jeune Akim trouve refuge dans le cinéma, dans les cours de théâtre et surtout dans l’œil de sa caméra, à travers laquelle il tente de remixer le réel pour mieux nous le raconter, à défaut de pouvoir s’en extraire.
Quiconque a lu « Le cigare au bord des lèvres » se souvient de l’attachant personnage de Pop, le père du narrateur Akim et de son frère Carl-Camille. Dans Granby au passé simple, on retrouve Akim, son frère et son Pop dans la modeste maison mobile de Granby où il a grandi.
Dans ce roman d’une grande tendresse et derrière les fanfaronnades trash d’Akim, on découvre une misère de région ordinaire : le chômage, la solitude du père et la dépression, la promiscuité collante et l’hygiène qui fout le camp, l’adolescence dans le tapis, les tensions qui en résultent… La maison des Gagnon craque de partout. Devant ce spectacle douloureux, le jeune Akim trouve refuge dans le cinéma, dans les cours de théâtre et surtout dans l’œil de sa caméra, à travers laquelle il tente de remixer le réel pour mieux nous le raconter, à défaut de pouvoir s’en extraire.